A la suite de sa destitution et le retrait du cachet du maire par 22 conseillers sur 37 lors d’un Conseil municipal extraordinaire tendu, il était depuis dans le viseur de la Justice. Ses détracteurs lui reprochent la négociation de gré à gré de la réhabilitation de la place des fêtes d’Oyem sans l’accord préalable du Conseil municipal.
Il avait ensuite été arrêté à l’esplanade de l’hôtel de ville d’Oyem alors qu’il échangeait avec des collaborateurs. A la veille de sa destitution, ses proches que nous avons contactés disaient le maire confiant et sûr de ses soutiens à Libreville.
Malgré les charges qui pèsent contre lui, ses fidèles continuent de crier à un règlement de compte politique et à une instrumentalisation de la Justice.