Son PDG, David Roux qui s’est confié à nos confrères de Gabonreview, qualifie ses informations de “spéculations répétées” d’un média “basé à Paris” sans le citer faisant allusion à Africa Intelligence.
“Nous faisons l’objet, depuis que nous sommes arrivés au Gabon fin 2017, de spéculations répétées de la part d’un média que vous connaissez, un média basé à Paris dont le business model repose en grande partie sur ce type de rumeurs et en incitant leurs clients à acheter les articles en utilisant les noms de personnalités ou d’entreprises qui peuvent les intéresser. Ensuite ces rumeurs sont copiées collées par des médias qui ne vérifient pas leurs sources auprès de nous – et cela constitue un problème juridique majeur.”, et “Ça fait partie du jeu. Je vis avec, et je préfère me concentrer sur le succès de nos opérations plutôt que sur les pierres qu’on me jette.”, a déclaré David Roux.
Toutefois David Roux n’écarte pas l’hypothèse selon laquelle Carlyle pourrait vendre ses actions détenues dans Assala : “Carlyle a cru en notre projet et décidé de nous financer. Ils ont mis à disposition du capital pour réaliser l’acquisition et investir dans ces actifs au Gabon. Mais, à la différence du groupe Shell, nos actionnaires ne sont pas une société pétrolière. Leur métier, ce n’est pas le pétrole. Leur métier, c’est l’investissement. Ils n’investissent pas que dans Assala. Ils investissent dans des centaines, voire des milliers de sociétés.”, avant de s’interroger : “Est-ce que Carlyle, un jour, reprendra son investissement initial en espérant avoir réalisé un profit ? La réponse est oui, mais c’est un secret de Polichinelle.”, reconnaît-il.