“Nous voulons régler cette affaire à l’amiable parce qu’au départ nous avons parlé à notre frère, c’est notre frère, nous sommes tous les enfants d’Omar Bongo Ondimba.”, a déclaré Alexandre Barro devant les militants de sa formation politique très remontées par cette attaque d’une violence extrême aux antipodes de la démocratie, à quelques semaines des élections générales à venir.
“Nous avons géré une situation. Dans la vie quand on veut être chef il faut se comporter comme un chef. Et ce que je veux vous dire ce que nous allons faire de bonnes choses. Je vais continuer plus déterminé que jamais. Qu’ils sachent que ce type d’intimidation conforte Barro Chambrier dans sa dynamique. C’est avec ce type de provocation que nous sommes arrivés jusqu’ici et maintenant ils sont en train de nous dérouler le tapis rouge.”, a répondu Barro Chambrier à ses adversaires.
Si Alexandre Barro n’a pas tenu des propos au vitriol à son adversaire à la présidentielle du 26 août, Ali Bongo Ondimba, il a cependant dénoncé son “bilan négatif”. “Quatorze ans pour rien. Zéro plus zéro plus zéro égale zéro !”, a-t-il tenu avant d’inviter le locataire du Palais Rénovation a comprendre qu’il “s’agit de la vie, l’avenir de tout un pays. Par conséquent, il doit comprendre que l’on ne peut pas rester au pouvoir contre l’avis du peuple.”, a affirmé Barro Chambrier.