En 2009, lors de la présidentielle gabonaise, opposant principalement Ali Bongo Ondimba à André Mba Obame, Robert Bourgi avait déjà secoué le landernau politique gabonais, en affirmant, « Au Gabon, la France n’a pas de candidat, mais le candidat de Robert Bourgi, c’est Ali Bongo. Or je suis un ami très écouté de Nicolas Sarkozy. De façon subliminale, l’électeur le comprendra ».
Un exercice militaire inédit : la Chine et le Gabon collaborent au large de Libreville
Alors que le président de la transition, le général Brice Clotaire Oligui Nguema, était reçu à Washington par le secrétaire d'État américain, Antony John Blinken, le 1er octobre,...
Sacré Robert Bourgi, toujours entrain de jouer les intéressants. Ton bip n’a pas sonné ?