« L’Union Nationale demande qu’une enquête soit menée pour déterminer les causes de cet accident grave et que des mesures soient prises pour éviter que de tels drames se reproduisent. », fait savoir Jeanine Taty Koumba.
Surtout que c’est la seconde fois en deux ans, après la fuite d’un volume de 50 000 mètres cube de pétrole brut, soit 300 000 barils sur le bac R17 du Terminal Cap Lopez à Port-Gentil, propriété de Perenco Oil & Gas Gabon. Soit une surface équivalente à trois terrains de football. Des faits pratiquement inédits dans l’histoire de l’industrie pétrolière au Gabon. « Plus largement, L’Union Nationale regrette la récurrence de ces évènements malheureux d’une extrême gravité dans le milieu pétrolier gabonais et demande au gouvernement de tout mettre en œuvre afin de s’assurer du respect des normes de sécurité dans ce secteur très sensible et important de notre économie. », a-t-elle conclu.