L’ancien candidat à la présidentielle passée, accuse la junte de manquer d’orthodoxie et de rigueur dans la gestion des affaires publiques en procédant à des recrutements à des fonctions non indispensables plus particulièrement à la présidence de la République. « Pendant que nous nous battons pour expliquer au monde entier que nous sommes en situation exceptionnelle, qui suppose orthodoxie et rigueur juste dans la gestion des affaires publiques, qui devrait se caractériser notamment par la nécessité de geler les recrutements à des fonctions non indispensables comme des chargés de missions et autres, c’est le contraire qui se produit sous nos yeux. », a-t-il déclaré sur Facebook.
Selon Jean Delors Biyogue, « Tout porte à croire que nous sommes désormais en quinquennat ou septennat politique normal. », avant de s’interroger, « Peut-on de manière objective, établir à chaque fois la relation, entre une nomination et la restauration des Institutions ? »
« Les nominations du dernier Conseil des Ministres, tout comme celles d’il y’a à peu près 4 semaines (particulièrement à la Présidence de la République) m’inquiètent. », a-t-il déclaré.
Laisse Oligui bosser. Vous ne pouvez pas imaginer tous les réseaux tissés par les français au sein de la présidence pour détourner le soutien de Ali Bongo (présidence) aux projets de gabonais et initiatives des gabonais. De nombreux agents véreux détournaient à leur profit, les aides accordées par la présidence. L’implication ouverte du service de coopération installé dans la présidence est soigneusement évitée. Le contrôle des agents de la présidence s’opère à l’aide d’agents extérieurs mais bien renseignés sur chaque fonctionnaire à coopter.
Laisser donc le grand Oligui travailler, il connaît les tenants et les aboutissant de ce qu’il fait, surtout qu’il a géré le renseignement de la présidence.de la république.