Une mobilisation d’ampleur et un discours stratégique
L’image du stade bondé par des militaires et leurs proches révèle la place cruciale que les forces armées occupent dans l’échiquier politique gabonais. Selon les chiffres avancés par Oligui Nguema lui-même, les FDS représenteraient plus de 11 % de l’électorat. Une donnée significative qui fait de ce corps un enjeu majeur dans la bataille pour la présidence.
Drapeau gabonais à la main, il a fait le tour du stade devant une foule conquise à sa cause, comme un adieu à ses frères d’armes, car, comme le stipule la Constitution adoptée en novembre dernier par référendum, les militaires et les magistrats peuvent désormais participer aux élections politiques. Le tombeur d’Ali Bongo a appelé ses frères d’armes à rester unis et responsables dans ce moment charnière. Mais au-delà de cet appel à la cohésion nationale, la rencontre a résonné comme une démonstration de force. L’assistance, conquise, a acclamé un leader dont la popularité n’a pas baissé dans les rangs des forces de sécurité.
Vers un ralliement massif des FDS ?
Alors qu’il entretient encore un faux suspense sur sa candidature, Oligui Nguema a promis une annonce imminente. Toutefois, tout porte à croire que les FDS se positionnent déjà comme un socle solide de soutien en faveur de celui qui a pris les rênes du pays après le coup d’État d’août 2023.
Les militaires votent avant les civils dans les casernes, un fait qui pourrait jouer un rôle décisif dans le processus électoral. Ce rassemblement marque-t-il déjà le début officieux de la campagne ? Si Oligui Nguema confirme sa participation à la présidentielle, il pourrait compter sur un appui de poids : celui des forces armées, dont l’influence sur le processus électoral ne saurait être sous-estimée.
Mais, cette dynamique pose une question cruciale : sommes-nous encore en présence d’une armée républicaine ? La tentation d’une instrumentalisation des forces armées est-elle réelle, et quelle serait la réaction de l’armée si Oligui était battu aux urnes ? Si dans les rangs militaires, sa popularité demeure forte, elle semble en revanche s’essouffler parmi les autres segments de la population. Les promesses de changement faites après le coup d’État n’ont pas donné les résultats escomptés : la corruption persiste, voire s’est aggravée, le chômage reste élevé, et les coupures d’électricité continuent de frapper durement les Gabonais. Si le soutien au général Oligui reste solide au sein des forces de défense et de sécurité, il est clair que parmi le reste de la population, sa popularité est en déclin près de deux ans après le coup d’Etat.
En tant que gabonais de la couche la plus basse de la structure sociale de mon pays, je puis dire aujourd’hui avec assurance que, le Gabon 🇬🇦 a seulement manqué de leader depuis son independance, le retard sur tous les domaines qui peuvent être relevés ne sont pas la consequence de son potentiel, mais toujours du manque de leader à la tête de ce beau pays. Leader pour moi n’est pas synonyme de competences intellectuelles, ni même maternelles ou financières. Mais leader pour moi est le caractere de compétences patriotique que une seule personne a pu nous convaincre d’avoir à l’écart de tous ces autres critères cité plus haut. Le President general Brice Clautaire Oligui Nguema montre les prémisses d’un batisseur et un homme de l’inclusion social. Ce M. Suscite l’envie de lui donner une chance, il est un semblable, il parle avec precaution, il commence par le bas et va vers le haut, les procedures logiques naturelles sont détectés dans son mode d’action. Il ne fait pas la politique, il fait plutôt de la gestion de crise sociale depuis son avènement miraculeux et prophétique au pouvoir.
Je puis encore vouloir faire partager a mes compatriotes que nous les gabonais ne cherchons pas la realisation totale de tous les projets du Gabon en un temps record, nous ne cherchons pas a sauver le Gabon 🇬🇦 une seconde fois. Cela a deja été fait, nous ne cherchons pas un super president, encore que nous l’avons deja eu, Feu President Omar Bongo, qui a été trompé par son entourage qui n’a jamais voulu le bien de ce pays, un entourage qui ne s’est contenté que de s’enrichir sans penser à dynamiser l’infrastructure gabonaise. Il n’est jamais trop tard pour un pays de se refaire. M. Oligui aussi jeune a une contenance d’esprit à s’incliner devant les hommes qui ont été aux affaires dans ce pays et leur tend la main à la suite d’une prise de pouvoir qui n’est pas ordinaire, mais se met entre le marteau(anciens leaders du regime dechu) et l’enclume (le peuple gabonais), pour prôner la reconciliation. Une premiere, depuis quand un coup d’état est là pour négocier encore avec ceux qu’on a renversé. Cela est la preuve et l’explication du nom que le peuple lui a donné (Josué). Un militaire qui sème la paix, avec un charisme plus divin que les presidents élus par les procédés traditionnels dits démocratiques.
Pour ma part, aujourd’hui, je prends l’histoire à temoin que le Général president De la transition en la personne de M. Brice Clautaire Oligui Nguema aux présidentielles écrasera avec un pourcentage de plus 90%, tous ses adversaires à cette election du 12 avril 2025. Les 10 % restant seront partagés par les autres candidats. La premiere election ou le chef de l’État l’emporte haut les mains sous la vigilance du peuple. Une premiere ou l’homme au pouvoir est voulu par le citoyen Lambda de tout son cœur. Pas pour un interet particulier mais par le phénomène exceptionnel que nous avons voulu voir quelqu’un de neutre qui arrive par un autre canal que les institutions nationales spécialisées d’ élire et légitimer un president. Il en est propre, et son chantier s’appelle CTRI allons y comprendre.
Alors moi et tous les gabonais de la soif du normal et du ce que l’on a pour le moment on fait avec, voterons et soutiendront indéfectiblement M. Oligui s’il se présente au élections du 12 avril 2025 infailliblement.
Que Dieu soit avec le Gabon 🇬🇦 et tous les enfants de cette nouvelle nation.
De la bouillie pour chien ! Le général du béton ne fait rien d’extraordinaire si ce n’est utiliser les moyens de l’état pour faire sa campagne avant l’heure. Il n’a ni l’étoffe, ni la carrure pour le fauteuil présidentiel. Le CTRI est constitué de voleurs en treillis. Depuis leur accession par effraction au sommet de l’état, le détournement de deniers publics n’a cesse d’évoluer. Les nominations dans l’administration centrale qui se font, privilégient les copains, coquins et consanguins. Il n’y a qu’à regarder dans les douanes gabonaises où la même province (G2) dirige cette administration depuis près de 28 ans. On a l’impression que cette administration est leur propriété privée ! Il en va de même dans les autres régies financières. Au final, rien ne change, c’est préservation de leurs acquis et OLIGUI dit le prince du béton est là pour ça.