Selon Nicaise Moulombi, le président de la Transition a eu raison de dénoncer l’injustice climatique. « Le Président de la Transition, Brice Clotaire Oligui Nguema a tout à fait raison. J’ai été honoré d’entendre la voix du Gabon résonnait dans l’intérêt de notre nation. Il faut noter que le texte de la Convention Climat reconnaît qu’on ne ferait pas de la lutte contre les effets néfastes des chansons climatique en laissant les populations affamées. C’est dire que nous devons faire attention à ceux qui viennent nous parler des changements climatiques et font des enchères à notre pays. Pour le président de la Transition, Oligui Nguema, il faut arrêter avec l’injustice climatique alors que plusieurs compatriotes décèdent chaque année à cause du conflit homme-faune. », a-t-il déclaré.
« Le président de la Transition prend un pays complètement déstructuré avec un important déficit en infrastructure. Alors, si pour les besoins de développement socioéconomique, nous devons exploiter nos ressources naturelles, pourquoi pas ? En ma qualité de défenseur de l’environnement, je devrais simplement m’assurer des bonnes études d’impacts. Mais notre pays doit arrêter avec des éléphants blancs… », explique-t-il.
« Voyez comment le conflit entre l’Ukraine et la Russie a ramené sans aucun respect de la Convention climat un retour de l’usage aux centrales à charbon dans les pays occidentaux, dans l’intérêt de leurs populations, à l’exemple de l’Allemagne et la France. Le président de la Transition, Oligui Nguema fait face à la réalité du pouvoir : réduire le chômage et l’urgence de stopper 54 ans de gabegie qui se fait découvrir au grand jour avec des ponts qui cèdent dans tout le pays. Les pays du nord pour la cause que nous connaissons, sont tous retournés au charbon pour le bien de leurs peuples. Nous suivrons le président Oligui Nguema pour le bien du Gabon et son peuple. », fait-il savoir.
Avant de conclure, « je voudrais simplement dire aux Gabonais que nous devons refuser et dénoncer l’hypocrisie climatique internationale dans l’intérêt des autres en gardant les pays du bassin du Congo comme des pays sanctuaires. »