Akim Daouda,. le patron du Fonds gabonais d’investissement stratégique (FGIS) serait en première ligne en jouant un rôle majeur dans le financement climatique. C’est lui que l’État gabonais a mandaté pour la commercialisation des crédits carbone dans le cadre de la lutte contre les changements climatiques commente l’hebdomadaire.
Moins connu, Christian Tchemambela, le secrétaire exécutif de l’Agence nationale des parcs nationaux serait au centre de la valorisation du développement des parcs nationaux à travers l’opérateur touristique, Luxury Green Resorts, filiale du FGIS poursuit Jeune Afrique.
Stanislas Stephen Mouba, directeur général de l’environnement et de la protection de la nature chargé du Plan climat et du Plan d’affectation des terres au ministère des Eaux et Forêts, a conduit pour le compte du Gabon, au sein du Conseil national climat et en qualité de conseiller du président en charge des négociations internationales, les négociations aux Nations unies.
Il y a également Lee White, celui qui incarne le visage médiatique de la politique verte du Gabon que Jeune Afrique qualifie comme : “l’un des conseillers les plus influents du président ( Ndlr Ali Bongo). Et d’ajouter que c’est lui qui serait monter “au créneau pour dénoncer le scandale du « kevazingogate », qui a valu à au Pierre Claver Maganga Moussavou son limogeage de la Vice-présidence de la République.
Tanguy Gahouma, le Secrétaire permanent du Conseil national climat gabonais et directeur de l’Agence gabonaise d’études et d’observation spatiale, ferait aussi partie du cercle serré de l’entourage d’Ali Bongo sur les questions d’environnement. Jeune Afrique en fait pour preuve qu’il aurait “été au cœur de l’organisation de la Semaine africaine du climat à Libreville.” avant de se rendre “immédiatement après au Caire pour la réunion des ministres africains de l’Environnement et des Finances, en prélude à la COP27”.
Le secrétaire général de la présidence de la République, Jean- Yves Teale, son conseiller spécial en charge des questions diplomatiques, serait “le dernier verrou qui valide les projets et les discours touchant à la politique environnementale du chef de l’État”, selon Jeune Afrique.
Le ministre des Affaires étrangères, Michael Adamo Moussa, serait devenu le porte- parole d’Ali Bongo Ondimba sur les questions relatives au réchauffement climatique, renseigne Jeune Afrique.