Annoncé le 31 août dernier parmi les quatre points sur les treize propositions faites par le président de la Fédération des entreprises du Gabon, Henri Claude Oyima, le Club de Libreville tarde toujours avoir le jour malgré la promesse des autorités de la Transition de solder la dette intérieure.
Une situation d’autant plus étrange qu’il est question de sauver plusieurs entreprises en leur évitant la faillite et de préserver des milliers d’emplois, faute du non-règlement de la dette intérieure par l’Etat. A qui profite cette lenteur dans la mise en place du Club de Libreville ? Faut-il y voir un lien avec la mise en place de la Task force dont les premières conclusions de son audit sur la dette publique ont révélé de nombreux cas de surfacturation et de détournements des fonds publics par les opérateurs économiques ?
Le rapport de la Task force sur l’audit de la dette intérieure a épinglé plusieurs entreprises comme Sobea, Razia ou Galaxy Corporation.