Au cours de cette rencontre, il était question pour l’émissaire du Palais Rénovation de présenter la contribution du Gabon qui a porté essentiellement sur la stratégie de restauration des terres dégradées et son impact sur l’atténuation des effets néfastes provoqués par les sécheresses en conséquence du dérèglement climatique.
Les chefs d’Etats et de gouvernement ont saisi l’opportunité durant cette rencontre de lancer solennellement « l’appel d’Abidjan », afin de réaffirmer leur allégeance face à l’engagement des parties vis-à-vis du programme de développement durable à l’horizon 2030. Lequel engagement fait référence à la neutralité en matière de dégradation des terres.
Pour rappel, le Gabon est signataire depuis septembre 1996 aux côtés des 197 pays membres de la Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification.