L’étude cartographie ainsi la mortalité estimée en 2050 pour quatre causes : les cas de maladie diarrhéique (enfants de moins de 15 ans) et de paludisme liés au changement climatique, les coups de chaleur (plus de 65 ans) ; et enfin, la sous-nutrition (moins de 5 ans).
L’équipe, dirigée par l’University College de Londres et composée de chercheurs des Philippines, d’Ouganda et du Brésil, a analysé les causes et conséquences du changement climatique sous un prisme particulier.
Ce prisme est celui des inégalités Nord-Sud et des discriminations dites “structurelles”, définies comme un accès inégal aux ressources, un manque de représentation politique ou un traitement social différent, selon des facteurs comme l’identité ethnique ou le statut migratoire.
L’étude cartographie ainsi la mortalité estimée en 2050 pour quatre causes : les cas de maladie diarrhéique (enfants de moins de 15 ans) et de paludisme liés au changement climatique, les coups de chaleur (plus de 65 ans) ; et enfin, la sous-nutrition (moins de 5 ans).
Malgré le manque de données concernant l’hémisphère Nord pour certains types de décès, les résultats révèlent que les pays où le réchauffement climatique devrait faire le plus de victimes se situent en majorité au Sud du globe. Les six pays suivants sont les plus concernés : la République démocratique du Congo, l’Angola, la République du Congo, le Gabon, la Guinée équatoriale, et la République centrafricaine.
La question climatique devient ainsi un enjeu géostratégique il faut se méfier de ce genre d’étude en déclenchant un mécanisme de vérification qui permettent de certifier ces donnés.
“Plus de 15 % des pays du Nord sont responsables de plus de 80% de la situation climatique du monde et particulièrement dans les pays du Sud qui eux ne sont pas responsables de la dégradation de la couche d’ozone et du réchauffement climatique. La difficulté qui réside dans cette étude repose sur le fait que nous ne disposons pas des indicateurs scientifiques qui permettent de confirmer cette étude. Nous devons être très prudents et nous devons mettre à disposition de nos chercheurs les moyens pour effectuer des études comparatives. Pour éviter que ce genre d’étude permet aux pays du Nord de tirer encore plus profit des pays du Sud. Car ce qui peut se passer ce que l’on va demander d’avantage au pays du Sud de faire de la conservation alors que nous savons que cette conservation a un impact social et sociétale très fort à l’exemple du conflit homme-faune. Cette conservation à un impact sur les populations du bassin du Congo qui vivent encore de chasse et de cueillette. La question climatique devient ainsi un enjeu géostratégique, il faut se méfier de ce genre d’étude en déclenchant un mécanisme de vérification qui permettent de certifier ces donnés. Coïncidence heureuse ou malheureuse ils se trouvent que les pays qui vont le plus être affectés par le changement climatique en 2050 sont les pays du bassin du Congo qui est aujourd’hui semble-t-il l’un des poumons de l’Humanité. Mais il se trouve que les pays du bassin du Congo, pour la plupart francophones n’ont pas la totalité de la donné de leur richesse, de leur écosystème et de leur biodiversité. C’est en cela que je salue le travail réalisé par la secrétaire générale de la Francophonie, Louise Mushikiwabo, sur la valeur de la biodiversité du bassin du Congo à la demande de la Commission climat du bassin du Congo. Je pense que la francophonie peut jouer un rôle important pour promouvoir la valeur de la biodiversité de la forêt du bassin du Congo qui doit être prise en compte dans la répartition des crédits carbone.”, a déclaré Nicaise Moulombi, président du Réseau des Organisations de la Société Civile pour l’Economie Verte en Afrique Centrale, interrogé par notre rédaction.
Ce sont des études mensongères on a eu déjà sur la COVID ,qui s’est avéré fausse.L’afrique centrale est la zone la plus riche au monde .c’est une stratégie pour nous appauvrir encore et nous voler .