En visite de travail à Libreville dans le cadre de la préparation du passage du Gabon au conseil d’administration du FMI dans quelques semaines, Aivo Andrianarivelo avait inscrit dans son agenda la présentation de ses civilités à Alexandre Barro, en sa qualité d’ancien administrateur de l’institution financière.
Alexandre Barro aurait exprimé à son invité son inquiétude quant à la capacité du régime d’Ali Bongo Ondimba, à faire face aux conséquences de la covid-19 et à son instrumentalisation politique par la privation des libertés individuelles et collectives.