Le président du Sénat, Lucie Milebou-Aubusson, le président de l’Assemblée nationale Faustin Boukoubi et le ministre de la Défense, Félicité Ongouori Ngoubili et Cie ont-ils été roulé dans la farine par le général Brice Oligui Nguema et ses pairs de l’Armée ? Difficile de ne pas répondre par l’affirmation.
A l’époque, l’introduction du triumvirat avait soulevé la colère de l’opposition et de la société civile publique qui avaient crié à une modification taillée sur mesure de la Constitution en faveur du clan des Bongo, pour s’assurer de conserver le pouvoir en cas d’empêchement d’Ali Bongo Ondimba convalescent après son accident cardiovasculaire à Riyad en 2018.
Les derniers événements en cours semblent démontrer à suffisance que le scénario de ceux qui avaient introduit le triumvirat dans la Constitution en cas d’empêchement du Chef de l’État avaient tout prévu sauf le renversement d’Ali Bongo par l’Armée le 30 août après la publication des résultats de la présidentielle en dénonçant des résultats “tronquées”.
Des lois constitutionnelles scélérates prises pour perpétuer le régime Ali- PDG. Dieu en a décidé autrement. Ntchouèrèèèè 🤔🤔