Acceuillie à son arrivée par Rachel Annick Ogoula Akiko, ambassadeur permanente du Gabon auprès de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco), la première dame du Gabon fera un plaidoyer sur la promotion de l’accès à des soins et à une éducation de qualité pour chaque enfant dès le plus jeune âge.
Selon l’organisation onusienne, la conférence « réaffirmera le droit de chaque jeune enfant à une éducation et à une protection de qualité dès la naissance et elle exhortera les États membres à renouveler et à accroître leur engagement et leurs investissements afin de garantir l’accès de toutes les filles et de tous les garçons à un développement, à une protection et à une éducation préprimaire de qualité les préparant à l’entrée dans l’enseignement primaire. »
Engagée depuis 2010 dans les causes des personnes vulnérables et fragiles, Sylvia Bongo Ondimba va réaffirmer à Tachkent que « le droit, de chaque enfant et dès le plus jeune âge, d’avoir accès à des soins et à une éducation de qualité ».
« Les premières années de vie d’un enfant sont essentielles et décisives. Pour sa santé, son apprentissage ou encore pour son épanouissement personnel. Malgré les défis que nous rencontrons, nous porterons tous ensemble le même message d’espoir et poursuivrons nos efforts pour garantir à tous les enfants un départ équitable dans la vie » soutien la première dame du Gbon.
Pour information, cette Conférence mondiale de l’UNESCO sur l’éducation et la protection de la petite enfance vise trois objectifs principaux: Élaborer des politiques ambitieuses, pertinentes et culturellement appropriées; mettre en place des systèmes efficaces et responsables, des partenariats et des services multipartites, enfin accroître et améliorer les investissements dans ce domaine en tant que partie intégrante et essentielle des stratégies des pays pour parvenir à des sociétés d’apprentissage tout au long de la vie et à un développement durable.