Libreville, le mardi 22 août 2023 à 07h07min…
À mon Cher Lénki du Congo-Brazzaville et du Gabon Alfred NGUIA BANDA .
J’ai reçu bel et bien tes insanités gratuites journalières dont la raison d’être ne m’échappe point.
Tu es mon Cadet depuis que tu servais kala-kala en esclave idéologique, sans conviction politique réelle, le PDG ainsi que notre feu Président Papa Omar Bongo Ondimba et son fils Ali Bongo Ondimba pour des raisons surtout intestinales “ventrales”.
Étant l’Avocat personnel du Pouvoir, du PDG et de la famille Bongo, je t’ai vu gravir les échelons administratifs de l’État gabonais allègrement sans les refuser et ce, grâce aux Bongo et PDG.
Tu étais, sans ambages, leur esclave intellectuel, sans aucune idéologie conséquente, probante.
Devenu “Grand” dans ce pays où l’on subit tout, sans se plaindre ouvertement, tu t’es tout permis pour ton seul ego sous le regard permanent de ton protecteur ethnique le Général Tonnerre jusqu’à vouloir attenter à la vie de mon client, ton rival, le Zaïrois, le Gynécologue de ton épouse.
Tu m’as toujours voulu jusqu’à faire intervenir le Président de la République Gabonaise, le Vieux Sage Omar Bongo, en jurant Nous faire la peau.
L’ingratitude ne paie point, mon Frère de Sang paternel congolais de Brazzaville ! Tu as oublié mon soutien fraternel dans tes relations intimes à Montpellier (France) avec ma Frangine bien aimée du Congo-Brazzaville.
En veux plutôt stp à ton cinquième membre corporel en agonie naturelle à cette époque des faits ! Mon cher Cadet de Sang paternel congolais de Brazza ; Je te conjure, de grâce, de te ressaisir dès à présent ! Tout cela est du passé !
Je suis Avocat, un des défenseurs des Libertés individuelles et collectives. Cesse donc ta violence innée permanente que ton “Judo” aurait dû neutraliser depuis fort longtemps mais en vain !
Je te pardonne nuit et jour pour tous tes actes antifraternels égoïstes car ton comportement injurieux à l’égard de ton propre aîné de Sang paternel congolais de Brazzaville n’a pas sa place dans ce débat politico-intellectuel actuel sur l’homme choisi pour conduire l’opposition gabonaise pendant seulement ces cinq (5) jours vers sa victoire électorale présidentielle.
Ta violence habituelle n’honore point les opposants de tout bord politique. J’ai émis seulement une Pensée, la mienne, qui n’est qu’un avis ne liant la Conscience et l’Intellect de personne.
Je te comprends, cher Cadet qui veut diriger demain notre Gabon avec la haine comme guide… Je te comprends car, pour moi, tu n’es point un opposant politique fiable mais plutôt un activiste d’occasion.
Du courage, Camarade des Ténèbres ! Ton Yaya à vie du Congo-Brazzaville et du Gabon dans la Lumière éternelle.
Me Jean-Paul Moumbembé, Avocat au Barreau National du Gabon,Docteur en Droit Privé de l’Université de Paris-Nord (Épinay-Villetaneuse) et D. E. A en Sciences Politiques (Anthropologie) Paris 1 Panthéon-Sorbonne