“J’invite l’ensemble des forces vives de notre pays à prendre ce pari de restauration de l’âme de notre Nation. Je suis persuadé que le CTRI peut permettre au pays de rattraper un certain nombre de retard que nous avons hérité de la conférence nationale et ce de la transition d’Omar Bongo Ondimba.”, a-t-il confié à notre rédaction.
“C’est pour cela que nous devons accompagner le CTRI pour redonner la dignité aux Gabonais dans la lutte contre la corruption mais surtout s’assurer du coût de l’impact de la falsification de la signature du Président de la République déchu qui lui même avait deja prévenu qu’il n’avait pas géré pendant 5 ans. Et nous espérons que la forêt gabonaise et l’ensemble des parcs marins n’ont pas été bradés”, a déclaré le président du HCANEG.