Repoussée de deux années, en raison de la pandémie de Covid-19, la Conférence des Nations Unies sur les océans s’est ouvert par des appels pressants à préserver les océans, ressource aussi vitale que négligée. Pollution plastique, destruction des barrières de corail, pêche intensive, conséquences des changements climatiques, piraterie, ont été entre autres, les principaux sujets.
En marges des travaux sur la Conférence, Michaël Moussa Adamo s’est entretenu avec son homologue français, Ministre de l’Europe et des Affaires étrangères de la France, Catherine Colona, où les questions bilatérales entre Libreville et Paris auraient été abordées.
#Réunionbilatérale en marge du sommet des #Nationsunies sur les océans, à #Lisbonne au #Portugal avec Mme @MinColonna Ministre de l'Europe et des Affaires étrangères de #France pic.twitter.com/UrdtS1WuK5
— Michael Moussa-Adamo (@Officiel_MMA) June 30, 2022
Le patron de la diplomatie gabonaise aurait également saisi cette rencontre pour expliquer au locataire du Quai d’Orsay, les motivations qui auraient animées le Gabon à rejoindre la grande famille du Commonwealth le 25 juin dernier.
Pour information, les travaux sur la Conférence des Nations Unies sur les océans se sont soldés par quatre recommandations majeures :
- Exhorter toutes les parties prenantes à investir dans des océans durables sur les plans alimentaire, énergétique et économique ;
- Prévenir la pollution et renforcer les mesures de préservation ;
- Protéger les océans, et les personnes qui en dépendent économiquement, des conséquences des changements climatiques ;
- Davantage d’innovations et de connaissances scientifiques afin d’ouvrir un nouveau chapitre de l’action mondiale pour les océans.